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« Notre liberté d'expression, je n'ai pas l'impression que les médias français s'en soucient. »
Journaux français & liberté d’expression : respectez d'abord la notre répond le banni de la société
Ils sont une centaine de médias à écrire une tribune.
"Il n’est jamais arrivé que des médias, qui défendent souvent des points de vue divergents et dont le manifeste
n’est pas la forme usuelle d’expression, décident ensemble de s’adresser à leurs publics et à leurs concitoyens d’une manière aussi solennelle.
Si nous le faisons, c’est parce qu’il nous a paru crucial de vous alerter au sujet d’une des valeurs les plus fondamentales de notre démocratie :
votre liberté d’expression."
Là déjà ça coince.
Notre liberté d'expression, je n'ai pas l'impression que les médias français s'en soucient.
Hervé Bourges, interrogé par Jacques Chancel, émission diffusée le 27 mars 2005, remarquait :
« La presse régionale qui est une presse indispensable, cette presse dite de proximité.
Mais n’a-t-elle pas beaucoup vieilli ?
N’est-elle pas une presse encore trop de connivence par rapport aux responsables politiques, économiques, sociaux, culturels, disons de la région. »
M. Jean-Claude Bonnemère, rédacteur en chef
de La Vie Quercynoise, considéré comme un hebdomadaire départemental de référence
écrivait en 2016
"Stéphane Ternoise ! à lui seul, son nom faisait de lui un banni de la société."
M. Jean-Claude Bonnemère
Il y eut une parenthèse où j'ai existé pour la vie quercynoise, 2014 - 2018.
Et en août 2018, de nouveau, La Vie Quercynoise me fermait ses portes.
Après me les avoir ouverte qu'en 2014, soit juste après la mort de l'homme fort du canton.
On peut remarquer qu'en 2018, le cousin de l'ancien homme fort du canton avait repris en main Montcuq.
Dans leur dépêche du Midi, vous pouvez rechercher leur couverture de mes activités.
Qu'ai-je fait pour mériter d'être un banni de la société ? de leur petite société ?
Arrivé dans ce département en 1996, j'ai osé demander pourquoi un agriculteur pouvait déverser nitrates et pesticides au pied de la source municipale.
Le maire était négociant en céréales... et très proche du conseiller général...
Depuis l'eau est passée à la Saur...
Avec au dernier bilan pour les nitrates, "la norme" étant de 50 mg/l, une moyenne de 49,18 mg/l avec un maximum à 58,40 mg/l.
Des préoccupations dites écologiques étaient sûrement inacceptables en 1996 par chez moi.
Niveau déontologie, le point culminant de l’indécence fut sûrement atteint au Conseil Municipal du 9 avril 2019,
avec repris dans le PV, le grotesque mensonge de m’avoir inventé des « propos injurieux envers les élus de la commune » pour justifier
« la subvention Salon du livre est supprimée. »
Naturellement ni la dépêche du midi ni la vie quercynoise, ni d'autres, ne s'étaient préoccupé de ce mensonge.
Je me suis tourné vers mon député, M. Aurélien Pradié, qui finalement m'a répondu « Vos affaires locales ne me concernent en rien. »
Aux municipales 2020, par le mensonge et l'intimidation, et le soutien des médias, le cousin fut tête de l'unique liste de Montcuq en QB.
Malgré leur grand respect de la liberté d'expression, ces médias n'ont donné la parole qu'aux installés.
Voilà, la liberté d'expression en France, par un exemple, le mien.
Je ne suis sûrement pas le seul à s'être exprimé de manière harmonieuse et républicaine mais dont les préoccupations ont sûrement dérangé de petits barons.
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